Fin août 2010, une soixantaine de dentistes se sont vu retirer le droit au régime du « tiers-payant ». Une sanction de l’INAMI pour cause « d’infractions au bon usage », c’est-à-dire pour avoir dépassé les quotas autorisés en matière d’application du « tiers-payant ». En clair, une condamnation pour avoir soigné trop de patients pauvres. Or, si l’accès aux soins de santé est souvent problématique pour les plus fragilisés de la société, tout ce qui touche au domaine dentaire est carrément emblématique. Et la dentisterie sociale a du souci à se faire...
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