Quels que soient leur domaine d’action, leur situation géographique, leur public, leur ancienneté, les associations de terrain qui luttent contre la pauvreté et l’exclusion sociale sont soumises à des contraintes d’ordres divers. Une série d’entre elles sont liées au financement externe dont elles ont besoin pour mener à bien leur mission. Il est bien sûr positif que les pouvoirs publics et des fondations financent l’important travail que fournissent ces associations, vu leur rôle fondamental dans la lutte contre l’exclusion sociale. Mais les modalités de ce financement représentent parfois des contraintes et des dépendances difficiles à vivre.